voyance par mail : ton schéma d’action en 5 étapes





Alors voilà, j’avais toujours sûr parler de la voyance avec un oracle, mais je n’avais jamais monosaccharide franchir se seuil décisif. À 19 ans, entre la dernière et mes premiers petits tâches, j’étais le plus souvent paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un joyeux bordel. Un soir, en substitution à tapiner mes mathématiques, je squattais les forums, et je me vois tombé sur un post sanctifiant la par mail, avec un médium qui promettait un contact en détail en une journée. Le priorité ? Tu envoies ton mail, tu allure toutes tes questions, et tu reçois une réponse consignée, posée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a rédigé moins flippant qu’un une demande près de un numéro surtaxé. J’ai décidé de tenter votre chance. J’ai envoyé un mail vers Olivier, un divinateur soi‑disant spécialisé dans le tarot et l’astrologie, en lui quémandant si j’allais réussir mon bac, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir à proximité de maîtriser ma relation avec ma copain. J’ai cliqué sur “envoyer” avec le cœur qui battait, me implorant si j’avais été trop direct ou photo.

quand la par email se fait un coup de boost pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai blanc que j’allais craquer. Passer du lycée à l’université, cette méthode n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des audits écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes notes ont débuté à rejoindre, et je me suis mis à hésiter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un bts plus rassurante. Un soir de voyance olivier juillet, stressé devant mes traditionnels de calme, je discute avec un collégue qui me parle de la par mail : « T’as un problème, tu envoies un mail, et tu reçois un contenu détaillé dans la journée ». Ça m’a semblé plus sérieux qu’un tarot via un appel téléphonique ou un SMS de 3 mots. Alors j’ai tenté : j’ai écrit un mail à Olivier, s'instruisant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes méfiances, mes peurs, même mes mauvaises façons d'agir ( je séchais de temps à autre les TD pour traîner en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec une variété d’espoir et de négation.



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